AU COSTA RICA
A DIVULGUER S..V.P
ILS PRENNENT LES OEUFS DES TORTUES POUR LES VENDRE
A repasser sans modération, la planète vous remercie
Les associations attentives à la nature bruxelloise, regroupées sous la bannière de Bruxelles-Nature, tirent la sonnette d’alarme: le remplacement des marronniers, av. de Tervuren, par des tilleuls argentés risque d’avoir des incidences très graves sur les populations d’insectes butineurs.
En effet, l’arbre de remplacement choisi, le tilleul argenté (Tilia tomentosa) est un arbre très odorant, à l’odeur parfois même écœurante. Dans la nature, les odeurs sont
liées à l’annonce de nourriture, elles indiquent la présence de nectar aux insectes en quête de ce liquide sucré.
Ce parfum puissant secrété par le tilleul argenté attire les abeilles à plusieurs kilomètres à la ronde. Une fois sur place nos butineuses, par l’odeur ensorcelées font bombance de pollen et de nectar et repartent ravies.
Sauf qu’il y a un problème de taille : le tilleul continue à diffuser cette odeur attractive lorsqu’il fait très chaud et sec, alors que, par manque d’eau à pomper dans le sol, il ne produit plus ce précieux nectar. En cas de sécheresse, l’arbre est un leurre pour les abeilles et les bourdons qui accourent au festin annoncé par les sécrétions olfactives mais trouvent table dressée, mais coupes à nectar vides. L’odeur les persuade que la récompense se cache au cœur de la fleur, mais n’y trouvent aucun liquide sucré duquel se régaler. Les insectes errent alors et tournent en rond jusqu’à mourir d’épuisement et de faim.
Il semble que nos autorités et nos administrations compétentes dans le dossier des arbres de l’avenue de Tervuren n’aient pas été informées de l’aspect docteur Jekyll et Mister Hyde des tilleuls argentés. Cet arbre est interdit de plantation dans certaines régions d’Autriche. En fond de vallée humide, le problème ne se présente pas. L’avenue de Tervuren a-t-elle le profil de « sol riche et frais » ? Peut-être dans le fond, près des étangs Mellaerts, mais ailleurs sur les flancs de la vallée de la Woluwe ?
Pour Bruxelles Nature, le principe de précaution doit s’appliquer dans le présent cas. On ne peut prendre le risque de tuer nos abeilles urbaines les années de sécheresse. Les plantations à Bruxelles doivent tenir compte de la biodiversité urbaine. Dans la ville les arbres vivent, les insectes vivent, les oiseaux vivent, les hommes vivent !
Nous demandons que le choix des espèces plantées se fasse en cohérence avec le milieu urbain dans lequel il se situe.
D’autant plus que d’autres boulevards bruxellois devraient prochainement connaitre le même sort.
Nous souhaitons également la mise en place d’une commission biodiversité, qui examinerait tous les dossiers d’aménagement prochainement connaître le même sort.
Nous souhaitons également la mise en place d’une commission biodiversité, qui examinerait tous les dossiers d’aménagement du territoire, tant public que privé, qui étudierait l’ensemble des éléments influençant le vivant et qui rendrait des avis contraignants.
Marc WOLLAST H. MARDULYN
Apis Bruoc Sella Président de Bruxelles Nature
GSM : 0475 60 10 78 (pour infos complémentaires)
Suite du dossier.
La FCPN invite tous les auteurs à raconter leur rencontre et leur conversation avec une plante sauvage, une herbe folle rencontrée au bord du chemin.
Modalités du concours
Constitué des administrateurs de la Fédé et de la LPO, ainsi que des salariés et bénévole de La Garance voyageuse, le jury distinguera les meilleurs textes en fonction de leur originalité et sensibilité.
2 catégories : « moins de 12 ans » et « plus de 12 ans » (3 prix par catégories)
1 page maximum, dactylographiée (Arial 10 ou Times New Roman 12)
Textes à retourner, avant le vendredi 19 février 2010 midi, par mail à : educ@fcpn.org ; ou par courrier à : Rencontre végétale, La maison des CPN, 8 rue de l’église, 08240 Boult-aux-Bois.
Chaque participant doit fournir ses coordonnées complètes : nom, prénom, âge (ou date de naissance), adresse, tél., mél. Il précise s’il fait partie d’un club CPN et/ou adhérent LPO.
Résultats : le nom des gagnants sera disponible sur le site internet de la FCPN, de la LPO et de La Garance voyageuse dès le vendredi 19 mars 2010.
Lots des gagnants
Les textes gagnants seront publiés dans La Gazette des Terriers et dans un numéro de La Garance voyageuse. Ils seront aussi publiés dans un document pdf qui compilera tous les textes du concours (téléchargeable sur le site des 3 associations).
Les gagnants recevront un abonnement à la Gazette des terriers d’un an et de nombreux lots nature (abonnement d’un an à La garance, à l’Oiseau mag, des livres ).
Pour en savoir plus
Vous pouvez télécharger le règlement du concours d’écriture pour connaître plus précisément ces modalités.
Téléchargez le communiqué de presse.
La Garance voyageuse
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La LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux)
Source: FCPN.
Le célèbre Catamaran est en train de couler dans l'Océan Austral.
Les 6 membres déquipage ont été secourrus par le Bob Barker de Sea Shepherd.
Dans une attaque non provoquée capturée par nos caméras, le navire de sécurité Japonais Shonan Maru 2 a délibérément éperonné le Catamaran de Sea Shepherd l' Ady Gil et a causé des dommages catastrophiques.
Six membres d'équipage, 4 néo-zélandais, un australien, et un Néerlandais, furent immédiatement secourrus par l'équipage duBob Barker de Sea Shepherd. Aucun membre d'équipage de l'Ady Gil n'a été blessé.
Il semble que l'Ady Gil sombre, et que les chances de le sauver soient très minces.
Selon un témoin occulaire, le capitaine Chuck Swift sur le Bob Barker, l'attaque s'est produite alors que les deux navires étaient immobiles dans l'eau. Le Shonan Maru 2 a démarré tout d'un coup et a délibérément éperonné l'Ady Gil arrachant 2m 50 de proue. Selon le Capitaine Swift, il ne semble pas que le navire soit récupérable.
Les baleiniers japonais sont montés d'un cran dans le registre de la violence pour ce conflit," a déclaré le Capitaine Paul watson. "S'ils pensent que nos deux navires restant vont quitter le Sanctuaire baleinier de l'Océan Austral par crainte de leur extrêmisme, ils se trompent. Nous sommes maintenant véritablement en guerre, et nous n'avons aucune intention de battre en retraite."
A bord du Steve Irwin, le Capitaine Paul Watson se dirige à 16 noeuds vers la zone, mais il reste 500 miles au Nord. Le Bob Barkera temporairement stoppé la poursuite du Nisshin Maru pour secourrir l'équipage de l'Ady Gil. Les navires japonais ont initialement refusé de répondre aux appels de détresse de l'Ady Gil, avant de finalement répondre. Ils n'ont pas cependant offert assistance ni à l'Ady Gil, ni au Bob Barker.
Souce:Sea Shepherd
DE CENTRALE PHOTOVOLTAÏQUE
SUR LE PLAN DES VACHES
À PLAN D’AUPS SAINTE-BAUME
OUI à l’énergie Photovoltaïque sans dommages collatéraux.
OUI aux panneaux photovoltaïques le long des autoroutes, sur les toits des bâtiments publics, sur les sites de friches
industrielles.
NON à la dévastation irréversible des sites remarquables.
Quel est le sens d’un « développement durable » qui détruit le paysage, la faune, la flore ?
Le Plan des vaches, situé sur la commune de Plan d'Aups Ste Baume, site inscrit, est exceptionnel par :
- sa situation privilégiée,
- ses espèces animales et végétales protégées,
- ses vestiges archéologiques,
- son origine géologique.
Un projet d’environ 27 ha de panneaux photovoltaïques va complètement anéantir
ce site, inclus dans le périmètre du futur Parc Naturel Régional.
Dépositaires d’un patrimoine à transmettre aux générations futures :
Dites Non au projet de centrale Photovoltaïque sur le Plan des vaches.
Source:C.E.E.P. Sainte-Baume.
lundi 28 décembre 2009 par Christophe Hosten
Pétition pour la protection de la biodiversité dans la vallée de la Marne
A l’intention de Monsieur le Ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer et de Messieurs les coprésidents du CIVC (Comité interprofessionnel du vin de Champagne)
Monsieur le Ministre d’État,
Messieurs les Coprésidents,
2010, année internationale de la biodiversité, année d’engagement du Gouvernement à stopper l’érosion de la biodiversité, mais certainement l’année de destruction d’un des patrimoines naturels les plus exceptionnels de Picardie.
En effet, dans le Sud du département de l’Aisne, sur la commune de Chartèves, le Coteau du Pseautier, mais également les dernières pelouses calcaires (savarts ou larris) situées en zone A.O.C. Champagne, sont sous la menace de destruction par l’extension de la viticulture.
Or ces savarts sont d’une richesse floristique et faunistique hors du commun en Picardie, abritant une centaine d’espèces différentes d’oiseaux, dont certaines remarquables et protégées, une richesse en flore des plus rares, dont des stations d’orchidées exceptionnelles en France, des cortèges de papillons, mante religieuse, cigale des montagnes véritable îlot de Méditerranée au Nord de la France !
Nous demandons à ce que les études réalisées depuis 1995 ainsi que l’avis du CSRPN de Picardie (Conseil scientifique régional du patrimoine naturel ) de 2006 soient pris en compte afin que ces dernières pelouses calcaires soient préservées par un arrêté de biotope sur l’ensemble du coteau Pseautier de Chartèves et qu’une réserve naturelle soit mise en place pour la constitution d’un réseau cohérent de pelouses à orchidées. Que le Champagne, au bénéfice de son image mondialement reconnue, fasse de Chartèves une vitrine de son engagement à la préservation de la biodiversité picarde.
Source:Picardie Nature.
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