Les abeilles face à la crise environnementale ! - par Staff le 16/09/2010 08:21
Les Abeilles face à la crise environnementale
Colloque organisé par Apis Bruoc Sella et
la cellule Eco-Conseil de la Ville de Bruxelles
Le mardi 28 septembre 2010 de 13h30 à 17h30, à l'Hôtel de Ville de Bruxelles - Salle Gothique
Grand Place de Bruxelles
Les abeilles occupent une place emblématique dans la biodiversité, elles jouent un rôle essentiel dans la pollinisation des plantes à fleurs et donc dans le maintien des écosystèmes.
Sans abeilles : plus de fruits, de légumes, de graines !
Mais dans un monde sans abeilles, l'humanité serait violement bouleversée, car les abeilles sont garantes du tiers de notre alimentation mondiale. Leur disparition affecterait gravement les écosystèmes et la viabilité des sociétés humaines.
Or, abeilles sauvages et abeilles mellifères vont très mal ! Partout dans le monde, on assiste impuissant à leur déclin. Que leur arrive-t-il ? Leur disparition est-elle inéluctable ? Quels sont les facteurs qui influencent leur survie ?
Des scientifiques renommés font le point sur la question.
Renseignements à la cellule Eco-conseil de la Ville de Bruxelles :
Tel : 00 32 (0)2/279.33.10
Entrée gratuite. Réservation souhaitée.
Source: Apis Bruoc Sella
Un projet immobilier menace la moitié des busards Saint-Martin de Wallonie... - par Staff le 14/09/2010 12:14
Un projet immobilier menace la moitié
des busards Saint-Martin de Wallonie...
Natagorase mobilise: Un projet immobilier menace la moitié des busards Saint-Martin de
Wallonie et pourrait aussi sonner le glas à plus long terme des
populations d’oiseaux chanteurs des cultures.
Le busard Saint-Martin est un rapace rare au niveau européen. Depuis 2002, l’espèce se cantonne et niche chaque année dans les plaineswallonnes, en très petit nombre (un à deux couples). Deux couples ont niché en Wallonie en 2010, l’un dans le Hainaut, l’autre dans le Brabant wallon, à Piétrain (Jodoigne).
Accidents de chasse : les chasseurs censurent le débat - par Staff le 08/09/2010 16:33
Communiqué de presse
Mercredi 08 septembre 2010
Accidents de chasse:
les chasseurs censurent le débat,
Borloo obtempère !
Ouverture de la chasse, ou bien ouverture de la casse ? On compte déjà trois accidents de chasse, dont un mortel, sur les chasses à ouverture anticipée, alors que l’ouverture générale n’a pas encore eu lieu. L’ASPAS, qui propose des solutions réalistes, est exclue des débats.
A la veille de l’ouverture générale, le ministre de l’écologie organise une réunion sur la « cohabitation » avec la chasse. Mais ne siègeront que les associations de la table ronde chasse ! Aucune structure représentant les autres usagers de la nature (randonneurs, vététistes, cavaliers, ramasseurs de champignons etc.). Ni l’ASPAS, face à qui le ministre s’était pourtant engagé. En effet, l’ASPAS est très en pointe sur ce sujet, et travaille depuis des années avec ces autres usagers de la nature, des victimes et familles de victimes d’accidents de chasse !
Le 10 février dernier, l’ASPAS remettait plus de 250 000 signatures à Jean-Louis Borloo, ministre de l’écologie pour lui demander le dimanche sans chasse et d’autres mesures efficaces pour enrayer ce mal bien français : les accidents de chasse. Le ministre s’était alors engagé à ouvrir un vrai débat et à prendre, enfin, des mesures innovantes. On les attend.
Comment expliquer cette absence soudaine de l’ASPAS ? Son Président, Pierre Athanaze, ancien administrateur de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, et grand connaisseur du dossier, n’a rien d’un dangereux extrémiste. Mais les chasseurs semblent fuir le dialogue. De très fortes pressions ont été exercées contre l’ASPAS par la fédération nationale des chasseurs et par le président de l’ONCFS Henri Sabarot (ex numéro 2 du parti « jusqu’au-boutiste » Chasse Pêche Nature et Tradition ). Pourtant, un établissement public comme l’ONCFS, sous tutelle des ministères de l’écologie et de l’Agriculture, se doit (se devrait ) d’une neutralité exemplaire sur un tel dossier.
L’ASPAS condamne l’attitude partisane de Jean-Louis Borloo. Celui-ci a été très enclin à prendre un décret de délit d’entrave à la chasse, pour deux ou trois chasses à courre dérangées chaque année par des militants de la cause animale, mais il ne fait rien pour éviter des centaines d’accidents de chasse et des dizaines de morts chaque année suite aux « traditionnels » accidents de chasse. Pour complaire aux intransigeants dirigeants de la chasse française, le responsable de l’écologie enterre le dossier en organisant une réunion de « cohabitation » où les principaux contradicteurs ont été « évités ».
Contact presse:
Pierre Athanaze
Président de l’ASPAS
tél. 06 08 18 54 55
Lettre ouverte à Mr Sarkozy - par Staff le 06/09/2010 07:59
Lettre ouverte à Mr Sarkozy, 4 septembre 2010
Monsieur le Président,
Nous prenons note avec satisfaction de votre dernière déclaration, lors de votre visite dans une exploitation ovine des Alpes de Haute-Provence, confirmant le statut d’espèce strictement protégée du loup en France. Certains finissant par se faire des illusions à ce sujet, votre mise au point sans équivoques confirme la volonté de notre pays de respecter ses
engagements internationaux et toute idée de dérogation aux lois et conventions en vigueur.
Notre association reste farouchement opposée au principe des tirs de prélèvement qui ne résolvent rien, voire même, dans certaines situations, aggravent le problème. En effet, un tir de prélèvement peut avoir l’effet contraire de celui recherché puisque la disparition subite d’un animal dominant peut totalement déstructurer une meute et conduire à une augmentation des attaques sur les troupeaux.
D’autre part, FERUS a démontré que plus de cent loups ont été braconnés en France depuis une dizaine d’années. A part quelques paroles convenues, l’administration ne fait pratiquement rien pour lutter contre ce phénomène et assurer une réelle police de la nature. Les agents de la police de la nature (ONCFS) sont trop peu nombreux pour dissuader et
poursuivre en justice les contrevenants. Les effets d’annonce de tirs de prélèvement autorisés en catastrophe, notamment dans les Alpes de Haute Provence et les Hautes-Alpes, ne changeront rien à une situation qui ne peut
se régler à coups de fusils mais seulement dans une véritable politique ambitieuse de protection des troupeaux qui est le seul moyen efficace de résoudre cette problématique. Ce n’est pas en éliminant ça et là un loup que nous résoudrons le problème. Le loup est présent et le restera. Le seul moyen pour les éleveurs de se protéger efficacement reste de mettre en oeuvre correctement les mesures de protection qui réduisent drastiquement la prédation. Depuis 10 ans maintenant nous proposons, en appui des aides de l’Etat, des bénévoles aidant à surveiller les troupeaux et améliorer les mesures de protections dans le cadre de notre programme « Pastoraloup ».
Si le loup reste une contrainte, il n’est pas inutile de rappeler qu’il n’est responsable que de 2 à 3 % de la mortalité ovine dans notre pays et que les raisons du malaise économique du monde de l’élevage ne sont absolument pas dues à la présence du prédateur dans nos alpages.
Nous vous remercions de l’intérêt que vous aurez apporté à cette lettre et vous prions de croire, Monsieur le Président, à l’expression de nos profonds respects.
Po/le conseil d’administration le président J F Darmstaedter
Les oiseaux de proie sont menacé en Europe - par Staff le 22/08/2010 12:07
Les oiseaux de proie sont menacés
en Europe
En effet, les oiseaux de proie deviennent des nouveaux animaux de compagnie.
Nous avons constatés la vente d'oiseaux de proie sur internet et l'ouverture d'associations qui détiennent ces oiseaux.
Comme le dénonce nos amis hollandais, ces oiseaux ne connaissent pas la nature puisqu'ils sont nés en captivité et de plus certaines espèces
viennent d'Amérique, d'Asie...
Bientôt en Belgique, nous pourront observés des grands - ducs africains, des chevêches des terriers...
Cela sera plus grave que les 10.000 perruches à colliers de notre capitale.
Il y a des risques de consanguinités pour les rapaces européens.
Nous demandons aux autoritées Européennes, Fédérales et Régionales de prendre des mesures afin d'empêcher le développement de cette mode.
Festival photos-dessins Nature des Pyrénées - par Staff le 26/07/2010 10:41
Festival photos-dessins
Nature des Pyrénées
Ariège-photos (Caroline Cunnac) est heureuse de faire partie des Exposants du Festival photos-dessins Nature des Pyrénées!!!
Le festival Photos Dessins Nature des Pyrénées vous propose pendant 6 jours: Les oeuvres de plus de 80 photographes, peintres, illustrateurs, sculpteurs autours de la nature, des hommes, des la montagne. Des expositions sur des pionniers de la photographie naturalistes, la biovidersité, la flore, le desman des Pyrénées, les chauves-souris, l'élevage et le pastoralisme, etc. Des conférences, diaporamas et sorties de découverte de la flore, de la faune, du monde souterain. Des animations enfants. Des visites de jardin. Un salon du livre des Pyrénées et de la nature. Un forum des acteurs de la nature, etc...
Du 3 au 8 août 2010
A la Bastide de Sérou (Ariège)
Horaires d'ouverture:
Du mardi 3 au vendredi 6 août de 10h à 19h
Samedi 7 août de 10h à 22h
Dimanche 8 août de 10h à 18h
Marion Cotillard: "Les forêts du Congo sont en danger !" - par Staff le 07/07/2010 17:09
Pour ne plus recevoir les messages de Greenpe
Massacre de blaireaux: Côte d’Or - Côte d’Horreur ! - par Staff le 30/06/2010 10:49
Communiqué de presse
Le 30 juin 2010
Lettre ouverte adressée au préfet de la Côte d’Or, cosignée par 71 associations Massacre de blaireaux:
Côte d’Or, Côte d’Horreur !
En mars dernier, le préfet de la Côte d’Or a pris des arrêtés ordonnant la capture et la «régulation» de blaireaux sous le prétexte de dépister et lutter contre la tuberculose bovine, pouvant être véhiculée par le mustélidé.
À ce jour ce sont plus de 2050 individus qui auraient été exterminés par les chasseurs, piégeurs, déterreurs et lieutenants de louveterie du département. 71 associations de protection de la nature s’insurgent contre cette véritable opération de destruction massive en adressant une lettre ouverte au préfet, en cette année déclarée
« année nationale de la biodiversité ».
Certes, le problème de la tuberculose bovine doit être résolu. Cependant, en France, cette maladie n’est qu’anecdotique chez le blaireau. Des études scientifiques (1)ont démontré que non seulement la destruction de blaireaux n’enraye en rien la maladie, mais qu’au contraire, elle augmenterait l’incidence de la tuberculose bovine sur le cheptel bovin ! Le Conseil de l’Europe (2), pour sa part, a indiqué qu’« On peut douter que l’élimination des blaireaux ait une utilité, et l’on ne devrait certainement pas y recourir » et qu’« On ne doit jamais procéder à l’élimination générale des blaireaux. »
Vu la vitesse d’éradication de l’espèce sur le département, l’avenir du blaireau en Côte d’Or est indiscutablement en péril. La période de destruction a débuté lors de la saison de reproduction et s’est même poursuivie pendant la période de sevrage des jeunes. Suite à un tel recul des effectifs, comment rétablir une densité de population normale et viable de l’espèce alors que la dynamique de population est connue pour être faible ? Si des mesures qui semblent disproportionnées ont été prises à l’encontre du blaireau, il n’en est pas de même vis-à-vis d’autres usages qui pourtant sont de très forts vecteurs de la tuberculose bovine. En effet les entrailles des chevreuils laissés dans la nature par les chasseurs (animaux abattus et dépecés sur place) ou la libre circulation de vaches et de taureaux de troupeaux en troupeaux représentent une menace bien plus importante.
Précisons aussi que le blaireau, inscrit à l'annexe III de la Convention de Berne, est une espèce protégée dans la plupart des autres pays d’Europe. Au lieu de confier cette mission aux services vétérinaires en lien avec les scientifiques et les associations de protection de la nature dans le but de lutter pacifiquement et efficacement contre la tuberculose bovine, ce sont les chasseurs (dont les motivations sont certainement tout autres...) qui se voient autoriser à tuer, sans limite, les blaireaux.
Aussi, nos 71 associations demandent instamment au préfet de la Côte d’Or de bien vouloir mettre fin à la plus grande destruction de blaireaux qui ait été entreprise en France. La lutte contre la tuberculose bovine n’en sera pas affectée si les vraies mesures prophylactiques sont réellement mises en place.
Contacts presse:
Pierre Athanaze:
Président de l’ASPAS tél.: 06 08 18 54 55
Gérard Charollois:
Président de la CVN e-mail: charollois.gerard@free.fr
(1) Christl A. Donnelly et al., 2003. Impact of localized badger culling on tuberculosis incidence in British cattle. Nature 426 : 834-837
(2) Huw I. Griffiths & David H. Thomas, 1998. La conservation et la gestion du blaireau d’Europe (Meles meles). Sauvegarde de la nature n°90, Conseil de l’Europe : 84p.
Associations cosignataires:
A Pas de Loup, Adeo Animalis, APIE, ASPAS, Association I.D.A.E., Association MELES, Association SEVE, Association Végétarienne de France, Autun Morvan Ecologie, AVES France, Borda, CHENE, CLAM, Code Animal, Combactive, Comité Ecologique Ariégeois, Connaissance & Protection de la Nature du Brabant, Convention Vie et Nature, CORA Faune Sauvage, CORA-Rhône, CPEPESC, Dignité Animale, Doubs Nature Environnement, Droits Des Animaux, FERUS, Fondation 30 Millions d’Amis, Fondation Assistance aux Animaux, Fondation LFDA, Fourrure Torture, France Nature Environnement Hautes-Pyrénées, Franche-Comté Nature Environnement, Franche-Comté Nature Environnement, Groupe Mammalogique Normand, JardinRefuge, Jura Nature Environnement, L214, LausAnimaliste, Le Pic Vert, L'empreinte, Les Naturalistes Rhodaniens, Loiret Nature Environnement, LPO Drôme, Maison de l'Espoir, Mayenne Nature Environnement, Mille-Traces, Natagora, Naturalistes Chapellois, Nature et Humanisme, Notre Dame de Toute Pitié, Oiseaux-Nature, One Voice, OUSIA, Perche Nature, Philippe Hervieu au nom du groupe Europe écologie au conseil régional de Bourgogne, Rassemblement Anti Chasse, Refuge de l'Arche de Noé, Respect et Défense des Animaux, Sauvegarde de la Faune Sauvage, SECAS, Secourisme Animalier, Serre Vivante, SFEPM, SHNPM, SNDA, Société Nationale de Protection de la Nature, SOS Rivières Et Environnement, SPA Marseille Provence, Territoire de Belfort Nature Environnement, Ultimathera 21, VegAsso.
Source: ASPAS.
Victoire extraordinaire pour les baleines - par Staff le 24/06/2010 22:31
Cette nouvelle étonnante fait suite à la mobilisation des donateurs et amis d'IFAW du monde entier, lesquels ont exprimé leur opposition à cette proposition via des centaines de milliers d'appels, courriels, lettres, cartes postales et signatures de pétition.
L'annonce faite hier démontre à quel point notre travail est vital - qu'il s'agisse de nos actions sur le terrain telles que le sauvetage et la prise en charge des animaux, ou bien les efforts que nous déployons au sein des conventions internationales comme la Commission baleinière internationale.
Quelque soit l’endroit où les animaux nécessitent des soins et notre protection, nous sommes là c’est pourquoi je ne vous remercierai jamais assez de nous avoir rejoints dans cette mission.
Bien entendu, la lutte pour protéger les baleines se poursuit, car celles-ci sont confrontées à un nombre de menaces toujours croissant:
Le Japon, la Norvège et l'Islande n’ont jamais cessé de chasser les baleines en dépit du moratoire sur la chasse à la baleine.
Les différents océans de la planète regorgent de filets de pêche dans lesquels les cétacés peuvent s'emmêler, les navires et bateaux peuvent les heurter en les blessant parfois mortellement.
Les chants des baleines qui, autrefois, traversaient tout l'océan, sont désormais couverts par le bruit constant des moteurs de navires, des constructions sous-marines et de l'exploration pétrolière.
Et les scientifiques continuent d'explorer les nombreux aspects par lesquels le changement climatique pourrait affecter tout autant les baleines que nous tous.
Par conséquent, alors que nous pouvons nous permettre de respirer profondément pour célébrer les résultats obtenus hier, saisissons cette occasion pour redoubler d’efforts afin de protéger ces créatures magnifiques contre toutes les menaces auxquelles elles sont confrontées.
Merci !
Fred O'Regan
Directeur Général, IFAW
Source: IFAW
NatureKenya s'opposer à la destruction de Dakatcha Woodland IBA - par Staff le 21/06/2010 19:26
Tonrulkens / Flickr
Jatropha curcas est une plante utilisée pour la production de biodiesel, qui est en grande partie non testée et potentiellement destructrice. Zoom avant
NatureKenya s'opposer à la destruction de Dakatcha Woodland IBA
21-06-2010
Nature Kenya (BirdLife Partner) travaille aux côtés de membres des communautés locales pour s'opposer à la destruction d'un important site forestier vitale pour la biodiversité et les personnes à la côte du Kenya.Au total, 50.000 ha ont été identifiés pour la conversion à cultiver le jatropha - une plante utilisée pour la production de biodiesel, qui est en grande partie non testés et potentiellement destructrice.La zone identifiée constitue une menace pour Dakatcha Woodland importants Domaine des oiseaux (ZICO) qui se trouve dans le projet d'aménagement.
Dakatcha est une vaste étendue de côtes relativement intactsbois, km au nord de la rivière Sabaki et entre 25 et 50 voies de la côte kenyane.Il s'agit d'un IBA et Key biodiversité à la surface pour de nombreuses espèces menacées comme le général Clarke Weaver Ploceus golandi en voie de disparition.
Dakatcha est aussi la terre ancestrale de la communauté Watha minoritaires autochtones.Le gain Watha services écosystémiques précieux de la forêt comme une eau saine à boire, et un approvisionnement durable de bois de chauffage pour la cuisson et l'éclairage.