Nouvelles
Plainte contre Au Suisse - par Denis_Salmon le 11/04/2013 12:32

17,rue du Charme - 1190 Bruxelles
Bruxelles, Jeudi 11 Avril 2013.
Objet: Mousse de bécasse.
Monsieur Olivier Beck
IBGE
Gulledelle 100
1200 Bruxelles.
Monsieur,
Je me permets de vous faire part de mon inquiétude concernant la protection de la bécasse des bois dans la Région Bruxelles Capitale.
En effet, Au Suisse vend de la mousse de bécasse.
En Saison |
Pâté de gibier (hiver)
- Chevreuil
- Perdreau
- Lièvre
- Marcassin
- Canard au Porto
- Mousse de Bécasse
|
Qu'en pensez vous ?
Denis Salmon
Président
Mesures anti-loup: non, les protecteurs de la nature ne sont pas d’accord ! - par Denis_Salmon le 25/03/2013 17:58
Malgré les accords de samedi entre le gouvernement, les éleveurs et certaines associations, l’ASPAS s’oppose fermement au massacre stupide et inutile de 24 loups. L’ASPAS, qui a déjà agi au niveau européen pour la protection de l’ortolan, prépare une riposte cinglante, et rappelle que le loup est encore une espèce protégée
L’abattage de 24 loups, annoncé par ce fameux plan loup, est tout simplement stupide. Absurde au niveau biologique, il n’est qu’une mesure démagogique destinée à calmer les éleveurs les plus hostiles au loup, qui ne se satisferont pas longtemps de cette mesure, car leur but est l’éradication totale de tout prédateur. Ces abattages arbitraires ne peuvent apporter de solution durable à la cohabitation entre troupeaux et grands prédateurs.
C’est oublier ce que les scientifiques et les protecteurs rappellent depuis des années:
- Le loup ne représente qu’une infime proportion de la mortalité des troupeaux.
- Abattre un loup désorganise les meutes et les pousse à conquérir de nouveaux territoires.
- Les troupeaux doivent être protégés de façon efficace avant d’envisager toute mesure de tir d’un loup. C’est ce qui se pratique dans tous les pays où les grands prédateurs cohabitent avec le pastoralisme.
Cette mesure ne contribue en rien à résoudre la crise que traverse la filière ovine dans tous les départements français, et non pas les quelques départements où le loup est revenu.
L’Espagne abrite plus de 2 500 loups, l’Italie 1 500.
La France est-elle incapable de préserver sa biodiversité ?
Comme pour la « gestion » calamiteuse de l’ortolan, du grand hamster ou du grand tétras, l’ASPAS porte donc le dossier à la Commission Européenne pour obliger la France à enfin protéger sa nature.
Oui, nous sommes des extrémistes: nous demandons le respect des lois
Contact presse
Pierre Athanaze
Président de l’ASPAS
tél. 06 08 18 54 55
Source: Aspsa Nature.
Dossier Blaireaux - Région Wallonne - par Denis_Salmon le 19/03/2013 11:54
Dossier Blaireaux - Région Wallonne

Nous avons lancé un cri d'alarme contre le projet de Monsieur Di Antonio, Ministre de la Ruralité,
de la Nature, de la Forêt et du Patrimoine de la Région Wallonne.
En effet, celui - ci désirait assouplir le statut du blaireau dans sa Région.
Certaines personnes désiraient pouvoir tirer sur notre ami.
Il est faux de prétendre qu'il y a trop de blaireaux.
Natagora a réagit et à participé à une réunion au Cabinet du Ministre.
Monsieur le Ministre a décidé qu'un groupe de travail devra trouver des solutions dans ce dossier.
Nous remercions Monsieur Roland Libois et Monsieur Philippe Funcken pour leur action en faveur de notre ami.
Nous donnerons des informations concernant ce dossier.
Nous restons vigilants pour notre ami.
Source: L'Avenir Net.
La Faune Sauvage ne connait pas les frontières - par Denis_Salmon le 17/03/2013 11:34
La Faune Sauvage ne connait pas les frontières !

Nos amis de l'association " Vogelbescherming" lance un cri d'alarme contre le projet de Madame
Joke Schauvliege, Ministre de l'Environnement, de la Nature et de la Culture - Région Flamande.
En effet, elle désire ouvrir la chasse Du 1 juillet 2013 au 1 juillet 2018 aux espèces suivantes:
la foulque macroule, la sarcelle d'hiver, la bécassine des Marais et la fouine.
Il est urgent de réagir contre ce projet afin d'empêcher la disparition de la faune sauvage dans cette région.

Les enfants : cibles des chasseurs - par Denis_Salmon le 15/03/2013 08:02
Contacts presse :
Marc Giraud, Vice-Président de l’ASPAS : tél. 06 07 74 99 05
Pierre Athanaze, Président de l’ASPAS : tél. 06 08 18 54 55
Interdire les rodenticides - Sites Semi Naturels - par Denis_Salmon le 14/03/2013 16:37
Interdire les rodenticides - Sites Semi Naturels:

Nous avons placé une pétition contre l'utilisations des rodenticides - Région Bruxelles / Capitale:
Madame la Ministre,
Nous vous demandons l'interdiction des Rodentides sur les sites Natura 2000 et sur les sites suivants: Vogelzang et Neerpede à Andelecht
Ces produits sont toxiques pour la chouette à yeux d'or.
Nous vous remercions pour votre aide.

28 Ans de lutte pour la Nature - par Denis_Salmon le 07/03/2013 12:33

28 Ans de lutte pour la Nature
Nous fêterons nos 28 ans d'actions pour la Nature.
Notre association est née le 1 juin 1985.
Nous avons organisé des Stages Nature pour les jeunes, Lancement de campagnes, Edition de notre revue, des Animations Nature dans les Etablissements Scolaires...
Nous avons lancé des pétitions (cartes postales et internet).
Nous avons participé à Natura 2000 et à des Réunions de Concertation: Anderlecht, Forest, Berchem Saint Agathe, Uccle et Woluwe Saint Lambert.
Un pin's a été crée pour notre campagne "Halte aux collets - Région Wallonne.
Une affichette a été créer pour notre campagne " 2013 ANNEE DE LA CHOUETTE AUX YEUX D'OR".
Nous remercions toutes les personnes qui soutiennent nos actions et nous continuons le combat.
Denis Salmon
Président
Braconnage des ortolans: La France bientôt condamnée ! - par Denis_Salmon le 04/03/2013 16:17

Braconnage des ortolans :
La France bientôt condamnée !
Pour la troisième fois, la France se trouve menacée d’une condamnation par la Cour européenne de justice, avec à la clé une très forte amende et des astreintes journalières très élevées.
Motif: sa complicité envers le braconnage des bruants ortolans.
Lassée par la mauvaise foi manifeste de nos différents gouvernements à protéger cet oiseau menacé, l’ASPAS fournit des arguments à l’Europe.
Le 25 janvier dernier, la Commission Européenne a fait parvenir une mise en demeure aux autorités françaises au motif qu’elles ne luttent pas contre le braconnage et le trafic très lucratif du bruant ortolan (Emberiza hortulana).
Cet oiseau qui pèse de 20 à 27 grammes, est un grand migrateur.
Piégé dans les Landes, il arrive du nord de l’Europe pour aller hiverner en Afrique tropicale. Il a besoin de milieux semi-ouverts pour se reproduire.
Mais la transformation des milieux agricoles, un peu partout en Europe, a considérablement fait chuter sa population au cours des dernières décennies.
Cependant, depuis plusieurs années et à la demande de quelques élus influents, une tolérance totalement illégale, permet aux braconniers landais de capturer vivant ce migrateur lors de son long voyage.
Tous les pauvres oiseaux attrapés sont ensuite engraissés pendant trois à quatre semaines, dans le noir complet, pour être finalement noyés dans un verre d’Armagnac.
Puis ils seront vendus environ 100 € pièce à des restaurateurs ou autres réseaux qui alimenteront, pour bien plus cher encore, les tables des plus fortunés.
Enfin, ces oiseaux seront avalés entiers dans un pseudo-rituel ridicule.
En 1988, la France avait déjà été condamnée pour la non protection de l’ortolan. Mais depuis rien n’a changé.
En 1999, devant la mauvaise foi avérée de la France, une nouvelle condamnation est prononcée, avec cette fois une astreinte de 142 425 € par jour !
Le bruant ortolan est alors officiellement protégé en France. Officiellement, mais pas sur le terrain.
Il est de notoriété publique qu’il existe un pacte de tolérance entre la fédération des chasseurs des Landes et les autorités françaises, qui «autorisent» les braconniers à tendre leurs matoles (pièges supposés traditionnels).
Quelque 50 000 ortolans seraient ainsi braconnés chaque année dans ce département, soit 10 fois plus que la population totale de l’espèce en Allemagne, Hollande et Belgique réunies !
Face à cette situation inadmissible, l’ASPAS a fourni à la Commission Européenne les éléments nécessaires à une saisine de la Cour Européenne de Justice.
Celle-ci ne manquera pas de sanctionner très fermement la France à cause de sa volonté manifeste de contourner les droits français et européen, et de faire fi de ses deux condamnations.
L’ASPAS se félicite de la mobilisation des associations de protection de la nature qui se sont déjà investies, chacune à leur façon, dans ce très difficile dossier (LPO, SEPANSO).
L’ASPAS en appelle à la ministre de l’Ecologie, au Premier ministre et au Président de la République pour qu’enfin cessent les captures illégales des ortolans (mais aussi des pinsons), et pour que les réseaux de leur commerce occulte soient une fois pour toutes démantelés.
À l’heure où notre pays traverse de graves crises écologique et économique, le gouvernement français continuera-t-il à soutenir ce braconnage et ce commerce de nantis, au risque de verser à l’Union Européenne des amendes colossales, au frais de ses citoyens ?
Contact presse
Pierre ATHANAZE
Président de l’ASPAS
Tél. 06 08 18 54 55
Source: ASPAS.
Avenir noir pour l'ours blanc - par Denis_Salmon le 23/02/2013 11:10
Communiqué, le 18 février 2013
Avenir noir pour l’ours blanc
La chasse à l’ours blanc bat son plein. Les agences de tourisme cynégétique du Nunavut, des Territoires du Nord-Ouest et du Manitoba au Canada sont surbookées jusqu’en 2014.
Pour répondre à la demande, le Territoire du Nunavut augmente les quotas de chasse dans la Baie d’Hudson sans tenir compte de l’avis défavorable du Groupe des Spécialistes de l’Ours Polaire de l’UICN.
L’ours blanc est la «cible absolue». Ça change de l’éléphant. Ça fait changer d’air.
C’est le challenge du siècle au sommet du monde. «Pour nos clients européens, nous recommandons au moins du calibre 8 x 57 mm mais le meilleur c’est du 9.3 x 74 mm ». Si vous êtes à la hauteur, vous reviendrez au pays avec le plus prestigieux des trophées. Les meilleurs taxidermistes du Canada pourront vous y aider.
Pour les paresseux, la vente aux enchères permet sans se déplacer d’acquérir la dépouille d’un animal prestigieux, adapté à la banquise depuis plusieurs millions d’années et voué à l’extinction d’ici quelques décennies, si aucune mesure n’est prise. Le nombre de peaux mises aux enchères et les prix augmentent.
En même temps, les publications scientifiques se succèdent en rafale pour prédire un avenir noir aux ours blancs.
Le dernier article paru début février 2013 dans Conservation Letters est signé par un spécialiste canadien en collaboration avec 11 scientifiques internationaux.
Il presse la communauté internationale d’agir maintenant pour sauver l’espèce.
La régression de la banquise arctique plonge l’ours polaire dans le cycle irréversible de la pénurie alimentaire.
Les difficultés d’accès aux ressources vitales diminuent sa robustesse et ses capacités de reproduction.
Pourtant, seuls 11 pays de l’Union Européenne soutiennent - la France n’en fait pas partie - la proposition des Etats-Unis d’inscrire l’ours polaire en Annexe I de la CITES, Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction, dont la session plénière se tiendra en mars 2013 à Bangkok en Thaïlande.
En conséquence, l’Union fait circuler une contre-proposition dite de compromis.
Il s’agirait dans les 3 ans qui viennent d’approfondir les connaissances sur les populations d’ours polaires, d’examiner tous les risques actuels et à venir qui pèsent sur l’espèce et d’évaluer dans ce contexte l’impact du commerce international. A l’issue de ce processus, l’Union Européenne pourrait soutenir une proposition d’inscription en Annexe I lors de la session plénière de la CITES en 2016.
3 ans de plus de perdus pour l’ours polaire; la proposition d’inscription en Annexe I des Etats-Unis a déjà échoué en 2010 au Qatar à cause de l’opposition des 27 pays de l’Union Européenne (48 votes pour, 62 contre et 11 abstention 2/3 des voix exprimées sont nécessaires à l’adoption).
L’Annexe I de la CITES interdit le commerce international.
Les autorités scientifiques des pays d’importation des trophées de chasse non destinés au commerce peuvent refuser de délivrer un permis si elles estiment que la chasse nuit à la survie de l’espèce.
L’inscription à l’Annexe I n’aura pas d’effet sur la chasse de subsistance des populations autochtones: la CITES ne s’intéresse pas à la chasse et à la consommation locales.
Le «Polar Bear Watching» génère plus de recettes que la chasse.
L’artisanat Inuit propose des créations remarquables à l’effigie de l’ours polaire, sans utiliser des parties d’ours polaire.
Les Inuits, grâce à l’autonomie récente du Groenland et à la fondation du Territoire du Nunavut au Canada, ont d’autres perspectives pour assurer leur développement que le commerce international d’ours polaires ou de parties d’ours polaires. Ils sont désormais impliqués dans la gestion des ressources halieutiques, géologiques et touristiques de leurs territoires et des mers adjacentes.
La Coalition pour les Ours Polaires souhaite que la France rejoigne sans tarder les Etats-Unis, la Russie, l’Allemagne, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Belgique, la Pologne, la Lituanie, la Roumanie, l’Autriche et les autres pays favorables à l’interdiction du commerce international des ours polaires.
Cette mesure ne freinera pas la fonte de la banquise arctique mais elle contribuera à la protection de l’espèce.
Précédent communiqué du 13 décembre 2012 « 13 associations exhortent la France à s’opposer au commerce international des ours polaires et de leurs parties ».
Lien vers le communiqué du 5 février 2013 « La consternation de l’ours blanc ».
Associations membres de la Coalition Ours Polaires: IFAW France, Robin des Bois, Fondation Brigitte Bardot, One Voice, Sea Sheperd France, 30 Millions d’Amis, la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO), l’ASPAS, AVES France, L214, le CRAC, Ecologie sans Frontière, les Amis de la Terre.
Source: Robin des Bois.
M13: Une mort inutile - par Denis_Salmon le 22/02/2013 12:15
M13: une mort inutile

Photo: WWF.
Nous venons d'apprendre par le WWF allemand, le meurtre de l'ours M13.
Il a été tué en Suisse le 19 février 2013.
Le WWF Suisse est extrêmement déçu de l’abattage de l’ours M13 aux Grisons.
«Ce tir a eu lieu beaucoup trop tôt, il aurait fallu continuer et renforcer les mesures deffarouchement», explique Joanna Schönenberger, spécialiste des ours au WWF.
«M13, contrairement à JJ3, n’était en aucun cas un ours problématique.
Sa mort est le résultat du manque d’acceptation des ours dans le Poschiavo, qui est une conséquence directe d’un manque d’information de la population.
Nous sommes scandalisé par ce meurtre.
Pour plus informations lire le site web
WWF Suisse.
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