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Source: Vogelbescherming. |
DOCUMENT: Secrets de Plantes: L'Ortie (France)
L'ortie dans tous ses états ! Quelles sont ses vertus ? Que lui reproche-t-on ?
Ce document tout récent fait le point sur la guerre de l'ortie, qui a secoué les milieux naturalistes et qui prônent une agriculture durable en France.
Cette guerre de l'ortie a également fait parler d'elle dans notre pays.
De quoi s'agit-il ? Le purin d'ortie, une substance issue de la macération d'orties, est utilisé en agriculture biologique, et remplace
les pesticides et autres produits toxiques en -cides. En 2006, l'usage et la commercialisation du purin d'ortie ont été interdits.
Mobilisation générale !
Concours photos:Dès mois de septembre, jusqu’en juin 2011, nous organisons un concours photos pour amateurs Thème : notre nature : un jardin extraordinaire, à préserver. A gagner :un appareil photo Canon EOS 550D d'une valeur de 829 euros. Il vous suffit de nous envoyer 3 photos (format min 720x576 pixels) mentionnant la date et la localisation des prises de vue et accompagnées de vos coordonnées (nom, prénom, âge, adresse, tél, adresse mail) Concours gratuit, règlement sur sitewww.rtbfmedia.be/jardin/reglement_Photo_nature.doc Vous pouvez nous les envoyer dès à présent, et tout au long de l’été à l'adressejardin@rtbf.be
Nous sommes rediffusés le mercredi vers 9h40 sur la Une
ainsi que durant 7 jours après la première diffusion sur le site
Jeudi 20 mai communiqué de presse
C'est le printemps: la nature nous invite à la Fête !
La quatrième édition de la Fête de la Nature se déroule jusqu'au 23 mai pour permettre à un large public, de l'écolier au retraité, du citadin au campagnard, de (re)découvrir et d'appréhender les richesses naturelles de nos territoires. Pour la quatrième année consécutive, France Nature Environnement et son réseau d'associations y participent activement.
Pendant ces cinq jours, chacun est invité à jeter un autre regard sur la nature qui nous entoure. Car cette voisine, qui peut paraître toute à la fois familière, transparente, inutile ou inaccessible, est porteuse de valeurs, de biens et de services que nous ne saurions trop longtemps négliger. Cette nature, qu'elle se trouve au cœur de sites prestigieux, dans les espaces verts ou dans le jardin sauvage de notre voisin, nous est indispensable.
Et quoi de mieux pour s'en rendre compte, que d'aller sur le terrain avec ceux qui chaque jour, gère et protège cette biodiversité? Pour cela, le public a l'embarras du choix puisque 1533 sorties et manifestations sont proposées dans le cadre de la Fête de la Nature.
Plus de 400 de ces activités ludiques, familiales et gratuites sont organisées par FNE et ses associations, dont la Ligue pour la Protection des Oiseaux, l'Office pour les Insectes et leur environnement, la fédération des Clubs CPN, la fédération française de randonnée et le Centre Ornithologique d'Ile-de-France.
"Pour expliquer l’importance et la fragilité de la biodiversité, éveiller les consciences et faire changer les habitudes, nos associations font preuve d'une imagination débordante", explique Christophe Aubel, responsable des questions biodiversité à FNE. "Il suffit de voir le panel d'activités qu'elles proposent pour cette Fête: 24h chrono de la biodiversité, balade crépusculaire, sortie à vélo ou à cheval, initiation à la photo, créations artistiques..."
"On ne fête jamais assez la nature, comme on ne fête jamais assez ceux qu'on aime", nous dit Erik Orsenna, parrain de la Fête de la Nature 2010. Alors, entre le 19 et le 23 mai, soyons curieux et allons étancher notre soif d'émotions, de connaissances, de découvertes, de rencontres, d'échanges au cœur de la nature.
Pour découvrir le programme de la Fête par département ou par thème, rendez-vous sur le site www.fetedelanature.com.
Plus d’informations sur la Fête de la Nature et les activités de FNE
Source: France Nature Environnement.
Bonjour, Merci à tous ceux qui ont contribué au succès de cette campagne. A bientôt! L'équipe Greenpeace |
vendredi 14 mai 2010
Année de la Biodiversité dans l’Yonne: Destruction de 49 tilleuls abritant
le pique-prune à Tanlay !
Le département de l’Yonne n’abrite plus que deux populations d’un scarabée sensible à la destruction des vieux arbres : le Pique-prune. La fédération France Nature Environnement, l’OPIE et Yonne Nature Environnement viennent de découvrir que des destructions des habitats de cette espèce protégée ont été commises dans le parc du Château de Tanlay.
Dans un contexte tendu, où le Conseil Général de l’Yonne a dû mettre en suspens ses projets d’abattage de l’alignement principal sur intervention ministérielle, et où devant l’Assemblée Nationale, il s’est vu rappeler par le Ministère qu’il avait obligation d’obtenir une autorisation pour procéder aux travaux de sécurisation du site, France Nature Environnement, l’OPIE et Yonne Nature Environnement ont constaté que la propriétaire du Château, au mépris des informations données par la DREAL lors d’une réunion avec le Conseil Général et en présence du Maire, a fait abattre, cet hiver 4 puis 45 tilleuls.
Ces arbres avaient fait l’objet d’une expertise et présentaient pour plusieurs d’entre eux les traces récentes, perceptibles depuis le sol, d’une occupation par le pique-prune et de nombreuses cavités hautes propices à l'espèce, non explorées.
Une réglementation existe : qu’elle soit appliquée !
France Nature Environnement, l’OPIE et Yonne Nature Environnement ne contestent pas la nécessité d’assurer la sécurité des visiteurs de Tanlay et des golfeurs. Néanmoins, comme l’exige la réglementation en matière de protection des habitats et des espèces, ces travaux doivent faire l’objet d’une demande de dérogation à la protection des espèces et de leurs habitats.
«Aujourd’hui, tous les acteurs concernés par la question des vieux arbres à Tanlay connaissent la présence du Pique-prune» explique Catherine Schmitt, présidente de Yonne Nature Environnement, «l’abattage de ces arbres a été conduit en toute connaissance de cause.Il constitue, en absence d’autorisation, un délit selon le Code de l’environnement !».
Theo Dirksen du Comité de Sauvegarde des Allées de Tanlay déplore « l’absence de réaction de la DREAL que j’avais pourtant informée dès l’abattage des 4 premiers arbres et je regrette que cet immobilisme ait conduit à l’abattage de 45 autres tilleuls qui sont maintenant réduits en copeaux ! »
France Nature Environnement, l’OPIE et Yonne Nature Environnement étudient à présent les suites à donner à ces destructions illégales.
La montée du niveau de la mer s’annonce bien plus grave que prévue. Les scientifiques parlent désormais d’une hausse d’environ 1m d’ici 2100. Cette montée des eaux chamboulera le littoral français. Les hommes céderont-ils du terrain à la mer ou pas ? Faudra-t-il abandonner des maisons, des îles, des villages? Que se passera-t-il pour le Languedoc Roussillon, royaume des «pieds dans l’eau», ou pour l’île de Sein, qui connaît une altitude moyenne de 1m50, ou encore en Picardie, à Cayeux - sur - Mer, cité balnéaire située au-dessous du niveau de la mer ?
Un document d’actualité, au vu de la grande inondation qui a frappé le littoral français, et tout particulièrement la Vendée, en février dernier. Tandis que des mesures drastiques et controversées sont prises actuellement pour désigner des zones inhabitables (et détruire les maisons qui y ont été construites), le document évoque les mesures prises ici et là pour lutter contre la montée des eaux, et donne la parole aux riverains, aux responsables politiques, et aux scientifiques. Une manière de se faire une opinion nuancée sur la problématique, complexe s’il en est.
Le dimanche 16 Mai 2010 20h10 sur la Une.
. Il ne faut pas aller au bout du monde pour rencontrer les géants de nos mers et océans. Le requin pèlerin croise au large des côtes françaises.
C’est le deuxième plus gros poisson au monde, et pourtant il est méconnu.C’est le constat qu’a fait une jeune équipe d’étudiants océanographes.De ce constat est née une association : l’APECS, qui mène un programme d’étude et de réhabilitation de cette espèce menacée.Elle sensibilise tous les acteurs de la mer : pêcheurs, plaisanciers, institutions publiques, pour l’aider dans ses recherches. Chaque année, elle organise un suivi sur le terrain, afin d’identifier les nouveaux spécimens et d’équiper certains d’entre eux de balises Argos.
Le document nous permet, à travers le quotidien de la dynamique équipe sur les côtes du Finistère, d’en apprendre un peu plus sur les habitudes de ce placide dévoreur de copépodes et de plancton.