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Action Chouette Athéna  -  par Staff
 Action Chouette Athéna


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Photo: Emile Vleugels

Nous recherchons des caisses à vin (de 12 bouteilles) pour Les dimensions de cette caisse "idéale" sont 50x33x18 cm.

Pourquoi?

Depuis plusieurs années, nous constatons la diminutions des sites de nidificationde la chouette Athéna.

Un site de nidification a été détruit pour faire place à une zone industrielle.

Il s'agissait du Meylemeersch à Anderlecht ( Région Bruxelles Capitale).

La chouette affectionne les anciens vergers (Arbres creux ).

Il est important que la végétation soit basse afin que la chouette puisse chasser des insectes et des petits rongeurs.

La prairie du Meylemeersh a été partiellement détruite et il est impossible de placer des vaches.

Non la chouette Athéna n'ira pas chasser au cimetière!

Ce n'est pas son biotope.

D'autres sites de nidification sont menacés en Région Bruxelles Capitale.

Nous lançons un cri d'alarme concernant la sauvegarder cette espèce.

Il est urgent de prendre des mesures pour classer les derniers sites de nidification de  cette petite chouette dans la Région Bruxelles Capitale.

Merci pour la chevêche.
Publié le 20/08/2011 09:03  - aucun commentaire -
Plateau Avijl en fête  -  par Staff

Plateau Avijl en fête

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L’ Association Protection et Avenir d’Avijl vous informe qu’elle organise,pour la 8ème année consécutive, un CŒUR EN FÊTE, un événement socio-culturel destiné à tous, qui prendra place sur l’ensemble du plateau Avijl à Uccle.

Vu l'intérêt porté par les Bruxellois lors des éditions précédentes (2004 à 2010), nous vous invitons à découvrir, pendant une journée, notre attachement à la préservation d'un espace vert intégré dans le quartier de Saint-Job, à Uccle.

PROGRAMME:

  • [11-14h et 16h]  Visite du site avec un guide nature.

  • [12h]  Espace gourmand: restauration légère; tartines fromage blanc, plats froids, salades, tartes artisanales.

  • [15h - 18h]  Initiation à la permaculture.

  • [10h - 18h]  Stand de compostage de l'IBGE au jardin entretenu par Natagora.



    Source: avijl.
     
Publié le 12/08/2011 14:14  - aucun commentaire -
 La Stratégie en faveur du Grand Tétras
 est sur la mauvaise pente
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La France est le dernier pays d’Europe occidentale à chasser le grand tétras, ou coq de bruyère. Une « Stratégie Nationale en faveur du Grand Tétras » a été élaborée en 2009 et 2010 pour sauver l’espèce, mais le ministère de l’Écologie, dans la version soumise à consultation publique en cours jusqu’au 8 juillet 2011, a retenu, pour le volet chasse, une  rédaction très néfaste à l’avenir du grand tétras et qui n’a jamais été discutée au sein du Comité de suivi de la Stratégie

L’avenir du grand tétras en France est compromis. 

Ce grand oiseau de nos forêts voit ses effectifs régresser de manière continue depuis une trentaine d’années. En cause : les modifications et la fragmentation de son habitat, les dérangements liés aux activités humaines, dont le tourisme et la chasse, et certaines pratiques sylvicoles ou encore les premiers effets des changements climatiques. Face à ces menaces, il convenait de mettre en place une stratégie nationale en faveur du grand tétras qui, pour chaque menace identifiée, aurait donné les priorités d’actions. 
 
Un arbitrage en faveur du pire
 
Suite à un appel d’offre, la rédaction de la stratégie a été confiée à la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) qui a remis au ministère un document équilibré et novateur. Malheureusement, les associations constatent que la version de la stratégie mise en consultation par le ministère retient les options les plus défavorables  sur deux points cruciaux pour l’avenir du coq :
 
- pour le volet chasse, un plan de gestion des populations inventé par le Ministère, fixé et contrôlé par les chasseurs eux-mêmes,
- pour le volet sylvicole, une définition de l’« habitat favorable au tétras » erronée et contestée par tous les spécialistes.
 
Le ministère de l’Ecologie entérinerait ainsi une situation où les excès de « prélèvements » vont perdurer de manière inacceptable : à population de Grands Tétras égale, les chasseurs des Hautes Pyrénées ont tué « légalement » ces dix dernières années, 70 fois plus de Grand Tétras que les chasseurs des Pyrénées Orientales.
 
Le Groupe Tétras France et les associations signataires dénoncent le choix scandaleux opéré par le ministère visant à faire valider une stratégie qui nuira gravement au grand tétras. « Après le renoncement au renforcement de la population d’ours, ce choix de ne pas limiter plus sévèrement les prélèvements de coq et de définir de manière laxiste son habitat, laisse poindre un doute, plus largement, sur les orientations de la stratégie nationale pour la biodiversité ». 
 
Les associations signataires étudient actuellement les suites qu’elles entendent donner à ce mauvais coup de plus porté au grand tétras et au-delà, à la protection des espèces en danger. 
 


Contact Presse :
 Pierre ATHANAZE (Groupe Tétras France) 06 08 18 54 55
                           Thierry de Noblens (Comité Ecologique Ariégeois) : 05 61 64 58 05



Association Cosignataires : ASPAS, Comité écologique Ariégeois, Cora Faune Sauvage, FIEP, Forêts Sauvages,  France Nature Environnement, LPO, Nature Comminges, Nature Midi Pyrénées, WWF France 

GROUPE TETRAS France
32 Rue Ste Hélène, 69002 Lyon  
Publié le 08/07/2011 10:25  - aucun commentaire -
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Rendez-vous sur les chemins





Nous avons décidé de lancer  une enquête concernant les chemins  dans la Région Bruxelles / Capitale.


Des chemins sont menacés  par de nombreux projets.

Notre but est d'empêcher la destruction de certains sites semi- naturels.

Certains ont déjà disparus ou sont menacés ...

Cette enquête est lancée dans les 19 Communes bruxelloises afin de connaître les sites et leurs habitants ( faune et flore sauvages ).


Enquête dans les communes suivantes:

Anderlecht, Berchem Saint - Agathe, Bruxelles, Evere, Ganshoren, Jette, Molenbeek Saint - Jean, Schaerbeek, Uccle, Watermael - Boitsfort, Woluwe Saint Lambert.


Nous vous remercions d'avance de votre contribution.

Nous participerons au week- end 5 & 6 Novembre 2011.

Il est organisé par la FCPN.


Publié le 07/07/2011 11:42  - aucun commentaire -
Communiqué JME 2011  -  par Mohamed
 Communiqué de presse

Journée mondiale  environnement 2011

 

Dans le cadre de la célébration de la Journée Mondiale de l’Environnement, l’Espace de Solidarité et de Coopération de l’Oriental (ESCO) et le Laboratoire de Géomatique, Patrimoine et Développement (Faculté de Lettres et Sciences Humaines d’Oujda) ont organisé une table ronde de réflexion le samedi 04 juin 2011 à la salle des réunions de la facultés des Lettres et Sciences Humaines d’Oujda pour analyser et recenser les différentes menaces et leurs impacts sur le devenir de ce patrimoine naturel qui revêt une importance mondiale.

L’objectif de cette table ronde de réflexion est d’évaluer la situation au SIBE Ramsar de la Moulouya et de formuler aux autorités concernées quelques recommandations et suggestions pour tenter de sauver et améliorer la gestion de ce patrimoine naturel qui revêt une importance planétaire pour sa diversité biologique et ses services écosystémiques.

Le débat qui a été modéré par le Pr SBAI Abdelkader a été très fructueux à la suite de l’exposé réalisé par Mr BENATA Mohamed, Président de l’ESCO, qui a été axé dans une première partie sur les différentes convention relatives à ce domaine, signées et ratifiées par le Gouvernement Marocain, ainsi que sur la présentation du SIBE de l’Embouchure de la Moulouya et son intérêt pour la biodiversité terrestre et aquatique et pour la vie avifaune et les services écosystémiques. Dans une deuxième partie il a relaté les différents facteurs qui dégradent le SIBE et ses fonctionnalités. Dans une troisième partie et avant de conclure son intervention, il a présenté à l’assistance composée de professeurs universitaires, d’étudiants chercheurs doctorants et de représentants de la société civile parmi les associations de protection de l’environnement et du développement durable, une gamme de suggestion et de recommandations qu’il a soumis au débat. 

Avant de discuter et de formuler les recommandations l’assistance a remarqué l’absence des administrations et des autorités qui interviennent au niveau du SIBE malgré leur invitation pour la concertation et l’échange de points de vue.

En outre, l’assistance s’est étonnée du comportement des autorités provinciales de Berkane qui ont écarté les universitaires spécialistes du littoral et les nombreuses associations actives dans le domaine de la protection de l’environnement, à l’exception de quatre d’entre elles, des réunions de concertations au sujet du choix et de la validation des projets qui seront financés par la Banque Mondiale, d’autant plus que les projets du littoral sont mené dans le cadre de la GIZC qui exige l’intégration de tous les partenaires intervenants au niveau du SIBE y compris la population locale et les associations. C’est donc un projet de gestion intégrée qui n’intègre que des personnes sur mesure. Il est voué à l’échec comme d’autres projets auparavant. L’approche participative est indispensable à la réussite de tout projet.
Nos décideurs n’ont pas encore assimilé ce concept et continuent de travailler comme auparavant.

En plus, il est apparu que le choix des coordinateurs nationaux et régionaux du projet au niveau du Département de l’Environnement a été entaché d’irrégularités et de manque de transparence et du choix des mêmes candidats qui ont géré les projets antérieur sans succès en écartant les cadres compétents, intéressés par la gestion intégrées des zones côtières et soucieux de la préservation du SIBE.

Après avoir exposé, chacun de son côté, son point de vue, il ressort du débat les suggestions et les recommandations suivantes:

1- Elaboration d’une stratégie nationale pour la protection des zones humides et la mise en œuvre de la Convention de Ramsar qui intègre les plaines inondables ainsi que les différents types de milieux humides. Mettre en place au SIBE Ramsar de la Moulouya, un statut de protection du site, conformément à la loi 22-07 sur les aires protégées. 

2- Nommer une structure, responsable de cette aire protégée, chargée de la gestion sur la base du plan de gestion et lui donner la reconnaissance et les moyens (institutionnels et financiers) nécessaires pour remplir ses fonctions.

 

3- Adoption et application d’un plan de Gestion du SIBE.

 

4- Mettre en œuvre des mécanismes de concertation avec tous les usagers (population locale, ONG, universitaires…), par la mise en place d’un comité de gestion de l’aire protégée, selon le décret d’application de la loi sur les aires protégées. 

 

5- Assurer au niveau de la STEP une technologie de traitement des eaux usées convenable permettant la réutilisation des eaux traitées pour l’irrigation en agriculture ou des espaces verts et des terrains de Golf ou les réutiliser pour les zones humides au profit des oiseaux et de la biodiversité. Il est nécessaire de rendre publique les données de traitement afin de dissiper tout doute concernant la qualité des eaux rejetées.

 

6- Assurer la réalimentation sédimentaire du rivage du SIBE et de la plage de Saïdia qui connaît actuellement de graves problèmes d’érosion.

 

7- Recréer et renforcer le cordon dunaire situé au droit du bras mort, suivant la méthode de ganivelles précédemment employée et en canalisant les accès à la plage 

8- Assurer la conservation et la réhabilitation de la juniperaie : éliminer progressivement les espèces invasives introduites et soutenir l’expansion des espèces locales, notamment le genévrier.

 

9- Veiller sur le respect du débit environnemental de la Moulouya afin de ne pas compromettre le fonctionnement des écosystèmes du site Ramsar.

Assurer l’écoulement des effluents en provenance des sources environnantes comme Aïn Zebda vers la zone humide des Chrarba et le bras mort de la Moulouya.

 

10- Revoir l’accessibilité à la plage depuis la ville pour décongestionner le rivage du SIBE. Il est nécessaire de faciliter l’accès pour assurer une répartition homogène sur la plage et une bonne répartition des véhicules qui s’encombrent au niveau du SIBE. 

Les plages ne sont pas privatisables et devraient rester publiques et accessibles à tous.

 

11- Les parkings doivent servir pour dégager des moyens financiers pour le recrutement des écogardes chargés d’assurer la surveillance et la propreté du site. 

 

12- Mener des actions d’information et de sensibilisation envers les touristes fréquentant le site afin qu’ils adoptent un comportement respectueux du site, mesure pouvant être mise en place par le gestionnaire et par les associations spécialisées installées dans la zone.

 

13- Réalisation d’un centre d’éducation à l’environnement et d’écotourisme. Cette construction devra être réalisée en dehors du site Ramsar en un lieu convenable en respectant les normes environnementales. 

Le SIBE doit être décrété zone inconstructible, même pour une maison de l’environnement, elle ne peut être construite dans la zone du SIBE.

 

14- Nécessité de procéder à une étude pour l’évaluation des projets de Med Wet Coast et de SMAPIII qui ont été réalisés au SIBE pour éviter de refaire les mêmes erreurs. Les projets qui sont financés sans assurer une continuité dans leur fonctionnement constituent purement et simplement une perte de deniers publics. Il est à signaler que les équipements réalisés à la suite du projet Med Wet Coast ont été dégradés complètement du fait du manque de recrutement de deux ou trois écogardes pour les préserver. 

 

15- Cesser toute destruction du capital naturel afin de garantir le développement durable et éviter tout changement dans les systèmes environnementaux compte tenu des interactions entre l’environnement, la santé et le développement économique.

16- Intégrer la dimension environnementale et la dimension économique dans toutes les stratégies de développement en vue de préserver les ressources naturelles et d’assurer le bien être des générations futures.

 

17- Impliquer la population locale et la société civile agissant dans le domaine de la protection de l’environnement et de la biodiversité durant  l’opérationnalisation des Etudes d’Evaluation d’Impact avec la nécessité de compléter cette action par une évaluation économique surtout  lorsqu’il s’agit de la destruction d’un actif naturel ayant une valeur économique très importante.

Fait à Oujda Le 04 Juin 2011

 

Le Président de l’Espace de Solidarité et de Coopération de l’Oriental

 

Signé : BENATA Mohamed.

http://www.oujdanews.com/news/news_view_2786.html


 

 

 

 

Publié le 15/06/2011 19:57  - aucun commentaire -
L'Europe condamne la France concernant protection Grand hamster  -  par Staff
  

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Communiqué de presse-Jeudi 9 juin 2011

L'Europe condamne la France pour insuffisance de protection Grand hamster

La Cour de Justice de l’Union Européenne vient de confirmer ce que dénoncent France Nature Environnement et Alsace Nature depuis plusieurs années: les mesures mises en œuvre par la France pour éviter la détérioration ou la destruction des habitats du Grand Hamster étaient insuffisantes. France Nature Environnement et Alsace Nature voient dans cette décision une possibilité d’enclencher à présent une dynamique plus favorable pour l’espèce, à la condition que la France change réellement ses pratiques.


Un rongeur au bord de l’extinction

En France, le Grand hamster est uniquement présent en Alsace. Longtemps exterminé pour les dégâts qu’il causait aux cultures, l’espèce se trouve à présent au bord de l’extinction. L’agriculture intensive, l’urbanisation galopante et les infrastructures de transports qui cloisonnent ses territoires ont eu raison des derniers noyaux de population : alors que l’espèce était présente dans une centaine de communes en 1997 elle n’est plus présente aujourd’hui que dans 25 communes de la région, non connectées entre elles et avec des densités extrêmement faibles.

La France tiraillée entre protection et aménagements

Après plusieurs avertissements adressés à la France, la Commission européenne, peu convaincue par la stratégie choisie pour sauver l’espèce, avait décidé fin juin 2009 de saisir la Cour européenne de justice. Maurice Wintz, président d’Alsace Nature explique : « La France s’est entêtée à poursuivre une stratégie en trois actes : relâcher des hamsters élevés en captivité, autoriser des aménagements et des routes qui détruisent ses habitats et poursuivre l‘industrialisation des milieux agricoles tout en disposant de-ci de-là quelques mesures agri-environnementales, cela ne peut pas fonctionner ! ». Il poursuit : « Les projets ou aménagements réalisés sur l’habitat naturel des hamsters ont été nombreux : le TGV Est, un complexe cinématographique, des zones pavillonnaires, le tout accompagné ailleurs de pratiques agricoles défavorables à l’espèce. Or, sans la conservation d’un vaste territoire agricole compatible avec la biodiversité, il n’y a aucun espoir. »

Une décision électro-choc ?

La Cour relève dans sa décision que les mesures de protection du Grand hamster étaient insuffisantes en 2008. FNE et Alsace Nature précisent que les mesures actuelles ne sont guère plus favorables. « L’État doit revoir complètement sa vision du problème, complète Benoît Hartmann, porte-parole de FNE, il doit appliquer le principe qui veut que lorsqu’un projet d’aménagement impacte une espèce protégée, a fortiori une espèce au bord de l’extinction, il faut en priorité éviter de porter atteinte aux habitats et à l’espèce en recherchant d’autres solutions. Or, l’État continue de céder à la pression des aménageurs, et pour preuve les autres projets encore &a grave; venir dont le Grand contournement Ouest de Strasbourg. La simple compensation des habitats détruits ne suffira pas ! ». Alors que la France vient de lancer les travaux pour une nouvelle stratégie nationale pour la Biodiversité et que l’Etat se lance dans la rédaction d’un troisième plan de sauvegarde de l’espèce, les associations espèrent que la décision de la Cour de justice servira d’électro-choc.

Les associations prêtes à faire des propositions

Même si la situation est particulièrement critique pour le Grand hamster, FNE et Alsace Nature estiment qu’il est encore possible de sauver l’espèce. Les discussions doivent reprendre autour du document cadre « Pour la mise en œuvre de la préservation du Grand Hamster et de son milieu particulier » signé par chacun des acteurs. Grâce à cette gouvernance locale que les associations veulent réelle cette fois-ci, il faut trouver dans la plaine alsacienne, les 240 000 ha de zones noyaux et de corridors qui permettront de sauver l’espèce.

 Télécharger ce communiqué en format PDF.

Source: France Nature Environnement.


Publié le 10/06/2011 09:08  - aucun commentaire -
Pour le lâcher d'une ourse dans le Béarn: Cyberaction!! !  -  par Staff
 Pour le lâcher d'une ourse dans le Béarn: CYBER ACTION !!!!!
 

 

 

Photo Roland ClercSoutenez massivement la protection de l’ours en signant dès maintenant sur internet la cyberaction  !!!!  www.cyberaction.paysdelours.fr

Communiqué FERUS / Pays de l’ours-ADET / FIEP

27 mai 2011

Ours : Madame la Ministre, allez-vous renier vos engagements ?

Voilà deux mois que nous attendons la confirmation du lâcher d’une ourse en Béarn.

Le printemps est maintenant très avancé, et toujours rien… !

→ Lire la suite



Source: Ferus.

Publié le 27/05/2011 12:52  - aucun commentaire -
L'huile de palme: la catastrophe dans les pays du Sud  -  par Staff
 

Y aura-t-il de l'huile de palme à Port la Nouvelle ?

25.05.2011

 

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Communiqué du collectif NO PALME, dont fait partie Sauvons la forêt, sur le projet d'usine d'huile de palme à Port-la-Nouvelle (Aude).





L'huile de palme: la catastrophe dans les pays du Sud




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Bien que les citoyens ne disposent de la part du conseil régional Languedoc-Roussillon d'aucune information, nous savons, grâce à quelques gaffes, fuites, rumeurs et informations de la presse régionale qu'un projet de grande ampleur pour l'installation d'une usine d'huile de palme à Port la Nouvelle se confirme de jours en jours avec pour acteur principal une grande multinationale de ce secteur agricole, SIME Darby.

Ce projet a tout lieu de nous inquiéter pour plusieurs raisons.

Cette huile de palme proviendra dans un premier temps d'Indonésie et de Malaisie où Sime Darby possède d'immenses plantations qui ont causé une déforestation massive sur des forêts primaires et dans un second temps des 180 000 hectares plantés par cette société au Libéria.

Ces mono-cultures de palmiers ne participent nullement à l'alimentation locale puisque la totalité de la production est exportée essentiellement vers les pays occidentaux et en Europe particulièrement.

Et loin d'être une opération marginale elles participent à un grand mouvement d'accaparement des terres dans les pays pauvres qui représente plus de 50 millions d'hectares fertiles (la surface totale de la France). Cette explosion de l'huile de palme a une raison très simple: les rendements sont 10 fois plus importants à l'hectare que pour nos huiles locales et les bénéfices suivent. 
L'huile de palme a deux finalités. Elle est surtout alimentaire aujourd'hui (difficile de trouver un biscuit sans huile de palme) et va devenir agro-carburant demain avec l'exigence de l'Union Européenne d'incorporer 10 % d'énergie renouvelable dans les carburants d'ici 2020. Du même coup, la France jadis exportatrice nette en oléagineux, devient fortement importatrice mettant son secteur agricole en crise. 

 

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L'huile de palme est utilisé dans plusieurs produits alimentaires.

Nous vous demandons de ne plus acheter ces produits  afin d'empêcher la destruction de la biodiversité des forêts tropicales.


Source: sauvons la forêt.

Publié le 27/05/2011 10:40  - aucun commentaire -
La parole aux jeunes  -  par Staff
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La parole aux jeunes, avec trois reportages et les réactions des invités sur le plateau



1. Silent snow
 
Au Groenland, deux jeunes adolescentes Inuit constatent les changements de leur milieu et de leur mode de vie et s'interrogent. Pourront-elles encore aller à la chasse au phoque en traîneau ? Consommeront-elles encore la viande de phoque, polluée par des pesticides et métaux lourds ? 
Devront-elles quitter leurs villages et rejoindre les grandes villes, à cause des changements climatiques ?
Silent snow bis
A côté des changements climatiques, une menace plus insidieuse encore menace les régions arctiques : l'empoisonnement des hommes et des animaux à cause des pesticides qui sont produits sur la planète entière.
Deux jeunes filles s'interrogent sur leur avenir, qui semble bien incertain.
Un document réalisé à Uummannaq, la capitale du nord ouest du Groenland.

2. La ferme Maximilien, à Bruxelles.

A 17 ans, Sarah semble avoir trouvé sa voie à la Ferme du Parc Maximilien à Bruxelles, alors qu'elle était en décrochage scolaire... A travers le contact avec les animaux, elle a découvert une passion, mais c'est surtout la transmission de ce plaisir aux jeunes enfants, qui la motive. Stagiaire à la ferme, elle fait ses premiers pas dans l'animation, et a de nouveaux projets d'avenir.

3.Vivre parmi eux de Francis Staffe

"Durant quatre années, j'ai accompagné mon grand-père en forêt, à l'endroit où vivait une compagnie de sangliers, qu'il avait habituée..."
Ainsi débute le récit d'un jeune garçon, qui dès qu'il le peut, part rejoindre ces sangliers qu'il ne craint pas, et qui l'acceptent parmi eux.
Un reportage amateur présenté au Festival du Film Nature de Namur 2010, et qui pose toute la question de la relation des humains avec les animaux sauvages, et avec la nature. 

Les invités

Marie-Pierre Fonsny, éditrice des "Niouzz"
Alexia Fouarge, lauréate du " Student Positive Awards 2011 " et fort impliquée dans des projets sociaux et de développement durable en Belgique et à l'étranger.
Thomas Eraly, chercheur, membre du Conseil de la Jeunesse.
Le Jardin Extraordinaire
  • Producteur: Claudine Brasseur
  • Réalisateur: Angelo Abou - Hatem

Diffusions:

  • laune
    • Dimanche 22 Mai à 20:15
 
Publié le 19/05/2011 12:38  - aucun commentaire -
Le site Natura 2000 « Massif de la Serre » à nouveau menacé  -  par Staff
                 

 

Communiqué de presse- Jeudi 19 mai 2011

Le site Natura 2000 « Massif de la Serre » à nouveau menacé

Plus de 7000 personnes ont cosigné « L’appel de la forêt, agir pour la biodiversité » lancé le 18 juin 2010 par France Nature Environnement et ses associations locales fédérées, CPEPESC, Franche-Comté Nature Environnement, Jura Nature Environnement et Serre Vi-vante, pour défendre le massif forestier de la Serre dans le Jura contre un projet de carrière mené par Bouygues.

Si en août 2010, la mobilisation avait conduit au rejet de ce projet (pour la cinquième fois !), le carrier s’obstine. La société propose un nouveau projet d’exploitation de roches éruptives tou-jours situé au cœur du massif forestier de la Serre, classé en Natura 2000. L’enquête publique a d’ailleurs débuté le 19 avril et durera jusqu’au 20 mai 2011.

Une exploitation qui porte atteinte à la biodiversité du massif de la Serre

Le président de l’association Serre Vivante, Pascal Blain, précise : « Les impacts sur les habitats et les espèces protégés sont conséquents » comme en témoigne l’avis réservé formulé par l’autorité environnementale dans le cadre de la procédure ICPE (avis du 30 mars 2011). Ce projet porte effectivement atteinte à trois habitats d’intérêt communautaire ainsi qu’à 49 espèces animales, dont plusieurs d’intérêt communautaire. Leurs habitats sont pour la plupart également protégés. Ceci nécessitera de la part du pétitionnaire l’obtention d’une dérogation à la protection de ces espèces et habitats protégés. Cet te dérogation sera examinée le 19 mai 2011 par le Conseil National de Protection de la Nature.


« Aucune des conditions préalables à l’obtention d’une dérogation prévues par le code de l'envi-ronnement n’est satisfaite ajoute Pascal Blain et il existe des solutions d’approvisionnement du Jura en granulat ayant un impact moindre. » De plus, le Livre vert de la Commission européenne sur la protection des forêts indique que 66 % des habitats forestiers d’intérêt communautaire sont dans un état de conservation défavorable. On ne peut donc accepter de mettre en péril pour des intérêts économiques de court terme ce site Natura 2000 justement créé pour protéger ces habitats forestiers.

Une cyberaction pour contrer ce projet destructeur

Les associations régionales, CPEPESC, Franche-Comté Nature Environnement, Jura Nature Environnement et Serre Vivante se mobilisent pour contrer ce projet. Elles vont ainsi présenter leurs arguments dans le cadre de l’enquête publique. Une cyberaction est également lancée depuis la fin du mois d’avril et plus de 5 000 personnes l’ont déjà signée.

 

Les signataires demandent l’intervention de la ministre en charge de l’Écologie


Les associations ont également interpellé Mme Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Ecolo-gie, du Développement durable, des Transports et du Logement, quant aux conséquences d’une autorisation d’ouverture de carrières pour les habitats et espèces animales présentes dans le site Natura 2000. Si le projet devait obtenir une autorisation d’exploiter, les associations resteront plus que vigilante quant au strict respect des conditions réglementaires en matière de dérogation à la protection de ces espèces et habitats.

Lien vers la cyberaction : http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/presentation.php?id=297

Télécharger ce communiqué en format PDF.

Source: France Nature Environnement.

 

Publié le 19/05/2011 12:05  - 1 commentaire -